Jud_and_cie

mrs
1
Followed
0
Followers
19
Badges
0
Comments
1926
Visits
2
Favorites

About Jud_and_cie

Hey ! Étudiante en droit, j'aime la lecture, faire de la musique et...discuter ! Alors n'hésites pas à m'envoyer un message ! Meilleure série de tous les temps :Game of Thrones !

Jud_and_cie - Followers

Jud_and_cie - Followed

Jud_and_cie's FML badges

Beginner

You have looked through 5 pages of the website. That’s a start.

Socialite

You used FML’s private messaging service for the first time. Will they reply? Wait and see…

Mobility

You are connected to FML via the mobile site or an app. How modern.

Work is a 4-letter word

Voting on an FML in the "Work" category on a Monday morning between 8 and 9 a.m. How ironic.

Checking you out

You checked out the profile page belonging to one of the last people to have a look at your profile.

At night, all FMLs are grey.

To be up moderating at this time of night, either you're really devoted or you're an insomniac.

Happy ending

Brandon may have an FML, but he ended up marrying Jessica. You found this out by reading “FML, the follow up.”

He who tries, wins.

See, one of you was right.

Santa Claus

You've looked for Santa absolutely everywhere, and you managed to find him. Well done!

Inception

You read an FML that mentions a badge, and in return, you've been awarded a badge. A badge inside a badge.

I like your style

You gave a Hug to someone. How cute!

I moderated this!

In "Moderate the FMLs", you voted Yes on a story that was subsequently published. Well done!

Up and coming moderator

It’s nice of you to help us sort out the submissions, using FML’s moderate feature.

Profile completed

You’ve filled out the necessary details. Having done so will be much appreciated.

It's in the can!

Hey, you uploaded your photo, and you’re cute as a kitten!

The Mixer

You like to live life randomly, and we salute you.

Consolation prize

Your FML was denied. We had to at least give you a badge to cheer you up a bit.

Judgmental

You have voted "You deserved it" over 100 times.

I agree, my mouse works.

200 "I agree" votes is a good start.

50 favorites

Love knows no boundaries. You’ve already added 50 FMLs to your favourites list!

Who’s the fairest of them all?

This is now the third time you’ve changed your profile pic.

One more and it's business time

You've received 68 Hugs on your profile. Kinky.

A new thumb

You’ve used your thumb on 1000 comments.

Censored

Not one, not two, but 50 pages of the Intimacy category read. No comment.

42

See, son, moderating FMLs is like a marathon.

Keen reader – Level: godlike ninja

You have voted for 100% of the entire collection of FMLs to date.

Keen reader – Level: master ninja

You have voted for 50% of the entire collection of FMLs to date.

YDI Master

You made your 500th "You deserved it" vote.

The return of the thumb

You have thumbed 5000 comments.

The thumb strikes back

You have left your thumbprint on 2500 comments.

Keen reader – Level: student ninja

You have voted for 15% of the entire collection of FMLs to date.

The list of badges to find

Jud_and_cie's favorite FMLs

Lwiiz tells us more.

Oh c'est ma VDM ! Je l'ai posté sur mon téléphone sans être connectée. Pour plus d'explications, ça va être long à raconter, mais si y'en a que ça intéresse : Ils sont revenus de l'étranger, en urgence si on peut dire, donc mon père a proposé d'héberger son frère et sa famille (dont 3 enfants) le temps qu'ils puissent se retourner, retrouver un travail, un appartement, toute une vie quoi. Pour ça on a dû s'arranger et changer plein de choses de notre mode de vie, par exemple on leur a laissé un étage, composé de 2 chambres, une salle de bain/toilettes et un bureau, pendant qu'avec mon frère on est allés dormir dans un bureau de 8m² au même étage que nos parents. Etant à l'étage du salon et de la cuisine, la majorité du temps "notre étage" à nous était plein de monde alors qu'eux avait un "mini-appartement" à l'étage du bas pour eux seuls. (Je sais pas si c'est très compréhensible) Enfin en gros on s'est retrouvés envahis d'un coup, au moment des révisions du bac et brevet qui plus est, ce qui a compliqué la chose (devoir réviser à deux pendant 2 mois dans un lit superposé c'est galère). De plus, mes parents travaillaient et nous allions en cours alors qu'eux étaient tout le temps à la maison, et quand en rentrant chez toi le soir tu n'as pas moyen de trouver de la tranquillité même dans ta chambre c'est pesant. (parce qu'évidemment nos cousins voulaient jouer avec nous à notre retour, c'est normal et c'est pas vraiment reprochable mais parfois c'est fatiguant). Bref, hormis le problème de l'espace réduit (chose à quoi on s'attendait bien sûr), on a eu quelques problèmes d'organisation je pense, par exemple ma tante n'ayant pas le permis a demandé plusieurs fois à ma mère de l'accompagner pour des achats de fournitures, mais ma mère n'avait pas le temps à cause du boulot, ce qui est ressorti plus tard comme "un manque d'aide". Une autre fois, les enfants jouaient dans le salon le soir et ma mère leur a demandé de descendre dans leur chambre car ils faisaient du bruit, ce qui est ressorti comme "traiter les enfants comme des moins-que-rien" alors que quand on vit en communauté on s'adapte un minimum aux autres. Une autre fois ils ont utilisé la voiture sans remettre d'essence dedans, et quand on leur a fait la remarque, mon oncle a boudé 2 jours à son étage sans monter pour manger (normal) Pour finir, ce qui a déclenché la guerre c'est quand mon père a prêté à son frère sa voiture du boulot pour 2h, et que son frère l'a ramenée 4h plus tard sans prévenir, ce qui a gêné mon père pour la suite de la journée. C'est là que mon père lui a fait remarqué qu'il aurait pu faire attention à l'heure, qu'il s'en est pris plein la gueule comme quoi ils avaient été mal accueillis, qu'on était des "petits français pas sortis du pays" (on a vécu plus de 7 ans à l'étranger) et plein d'autres gentillesses. Depuis ils ne s'adressent plus la parole (2 ans) et c'est pas près de recommencer. Maintenant toute la famille est au courant de ça, mais heureusement ils connaissent assez bien les deux frères pour savoir qui est en tort dans cette histoire. Voilà désolée du pavé mais 300 caractères c'était trop peu pour tout expliquer (et j'ai dû oublier plein de détails) ! (C'est cool de voir les commentaires tous compréhensifs, car à leur départ j'ai cru que c'était nous qui avions un problème)

Shania Wolf tells us more.

Bonjour à tous, je suis l'auteure de la VDM, c'est le moment des remerciements tout ça tout ça, je suis super émue, merci à mon metteur en scène... Et les voilà, les précisions, qui arrivent à la rescousse ! Je m'excuse par avance, je ne sais guère être concise ! Décor : Alors, pour éclaircir un peu les faits, ce n'était pas vraiment un appartement mais une forme de logement un peu spéciale. A l'époque des faits (il y a environ 6 mois de cela), j'étais en Erasmus en Norvège, et là-bas les résidences étudiantes habituelles sont assez différentes d'ici. En fait, ce sont de petites maisons d'un ou deux étages, composées d'en général quatre à huit chambres autour de pièces communes. En revanche, pas de continuité entre les bâtiments, ce qui impose de sortir dans la neige pour aller faire sa lessive ou... jeter les poubelles. Et j'admets qu'en pleine nuit polaire, c'est pas marrant, j'ai préféré faire ma lessive à la main pendant deux mois perso. Dans mon lotissement, les bâtiments comportaient six chambres, deux salles de bain et une cuisine. Une cuisine pour six donc, et à chacun sa semaine de sortir les poubelles. En outre, le tri sélectif c'est du sérieux là-bas, donc à part les devoirs dont on n'est pas fier, tout va dans sa poubelle attitrée dans la cuisine. Je ne pense pas que qui que ce soit ait gardé des déchets organiques dans sa chambre, ce qui est déjà une bénédiction. Prélude : Les faits, en vérité, comportent une certaine ironie. D'abord parce que ledit colocataire avait emménagé dans cette maison environ trois mois avant moi. Ensuite parce que moi-même, un mois après mon arrivée, me suis rendue compte que non seulement j'avais raté mon tour de sortir les poubelles (toute imprégnée que j'étais du planning de mon ancienne résidence), mais qu'en plus je n'avais pas la moindre idée de l'emplacement du local à poubelles. Il faut dire que c'était un truc un peu spécial, une sorte de tube près de la route traversant le lotissement, dans lequel on a l'impression de pouvoir verser des ordures à l'infini, et que personne ne vient jamais vider. Bref, une technologie exotique. Un mois après mon arrivée, donc, je n'avais pas encore répertorié la chose, mais je ne voulais surtout pas demander à mes colocataires, car alors ils s'apercevraient forcément que j'avais raté mon tour la semaine précédente ! J'ai donc attendu deux semaines, le début des vacances de Noël, que tout le monde, moi exceptée, rentre dans son pays, et c'est là que j'ai entrepris mon enquête. A ce stade, j'ignorais tout autant à quoi servait ladite clef, persuadée que le local à poubelles était un bâtiment en dur s'ouvrant grâce à la même carte magnétique que la laverie. J'ai donc passé une demi-heure à errer en pleine tempête de neige avant d'avoir la révélation. Ouf ! Mon honneur était sauf, ma dette payée, l'affaire ne parviendrait jamais aux oreilles de personne ! Les faits : Un mois passe alors, et le fameux colocataire revient pour le second semestre. Tout semble bien se passer, et le remplacement d'une colocataire créé même une distraction suffisante pour étouffer une crise au sujet de la vaisselle et bouleverser le planning : mon précédent manquement à mes obligations est ainsi définitivement noyé. Encore quelques semaines s'écoulent dans la plus parfaite nonchalance, même l'affaire de la vaisselle sale finit par se tasser, quand soudain, au détour d'une conversation parfaitement anodine, il lève le regard sur moi et, le trousseau à la main, me pose LA question. Me reviennent alors toute ma confusion, mon désarrois, ma terreur à l'idée que soit découverte ma terrible indignité... Mais lui, ça n'a pas l'air de le perturber le moins du monde d'apprendre ainsi la nouvelle après six mois à vivre là. Pas même l'ombre d'un rougissement sur ses joues laissées blanches par la nuit polaire. Juste un vague acquiescement qui laissait entrevoir l'intérêt parfaitement nul qu'il accordait à cette annonce jugée non pertinente. Conclusion : Au final, cela n'a guère fait que confirmer une impression que j'avais déjà depuis un moment : le planning n'était en fait qu'une vaste mascarade, qui avait commencé à s'affaiblir à peu près à l'époque de mon arrivée, et était pratiquement tombé en désuétude suite aux vacances de Noël. Si pendant six mois personne ne s'était aperçu que certains manquaient à leurs obligations, pourquoi craindre une quelconque réprobation ? Bien vite les sacs poubelles se mirent à s'entasser dans le couloir où on laissait les chaussures, et à former un joli petit muret décoratif qui balisait les escaliers. C'est ce qui m'avait été laissé sur les bras à Noël, ainsi que toute la vaisselle sale (n'en étant en rien responsable - c'étaient en vérité le même colocataire et celui qui était définitivement parti à Noël - je n'en avais lavé que la moitié avant de laisser le reste anonymement dans le lavabo, ce qui avait engendré la fameuse crise de la vaisselle), et le tout s'est reconstitué à une vitesse effrayante. Bon, dans l'ensemble, ce n'était pas trop horrible. Vu la température dans le couloir, les ordures devaient bien se conserver, je suppose, et de temps en temps l'un de nous trouvait le courage d'embarquer quatre ou cinq sacs (ils étaient minuscules, ndlr) avant d'aller courir après le bus. C'était pas joli à voir, mais au moins y'avait ni vermine ni odeurs. La vaisselle, en revanche, continua d'être source de conflits, dont je faisais en sorte de me tenir bien éloignée en cachant dans ma chambre les verres que j'avais la flemme de laver sur le coup - jusqu'à ce que, les réserves de toute la maisonnée s'épuisant, je décide de tous les restituer, le regrettant aussitôt en comprenant que tout le monde agissait de la sorte. Et, joie suprême, demeurant dans le groupe facebook du bâtiment bien qu'étant de retour en France, j'ai pu assister il y a quelques semaines à l'habituelle engueulade de rentrée quant à la vaisselle laissée sale pendant les vacances ; joute à laquelle tous participent joyeusement - même la norvégienne que j'ai vu deux fois dans l'année et dont je n'ai jamais su le nom - avec pour contre-attaque favorite le rappel des antécédents de tout un chacun : n'ayant point été citée, j'ai ainsi l'honneur d'être officiellement passée sous le radar ! Ce dont il n'y a guère matière à s'enorgueillir, le colocataire ici en question étant aussi parvenu à se faire oublier... Ainsi s'achève l'affaire, désormais laissée à la postérité.